Jeudi 9 août 4 09 /08 /Août 07:43

Récit autobiographique d’une putain

                                   Par Corinne

 

Toute petite déjà… j’étais matée

Toute petite déjà… j’étais accostée…

Toute petite déjà… on m’appelait Mademoiselle !

Toute petite déjà….

 

A 12 ans, j’étais un(e) mignon(ne) hermaphrodite, sans trop de désirs, ni d’obsessions particulières, très équilibrée avec mon « yin et mon yang »…

C’est assez dur à décrire, mais je jouissais en mâle et en femelle…

Allongé(e) sur le ventre, la plupart du temps juste déculotté(e), j’imaginais en me frottant aux draps, des situations perverses ou j’avais le dessus et le dessous ; mes jouissances violentes et coupables n’éteignaient jamais mes pulsions, au contraire même, les attisaient…

Sans que je m’aperçoive de son emprise, mon cousin (beaucoup plus âgé) commença alors, une large initiation, accompagnée d’une domination cérébrale et physique, destinée à abuser de moi et atteindre ainsi ses objectifs sexuels :

-         1/ faire de moi, sa petite poupée

-         2/ jouer et contenter ses fantasmes

Gloups !

Bien sur, tout cela était présenté sous la forme d’une relation amoureuse et d’une envie consensuelle ! Bien sur aussi, le travail d’approche a été long et parsemé d’obstacles en tout genre… (et je m’en aperçois aujourd’hui !) Il lui a fallu de la patience et de la détermination pour obtenir de moi, la relation vicieuse qu’il désirait.

 

Mais quelle surprise quand un beau soir…. A l’issue d’une réunion de famille…,

inconsciente de ce qui allait se dérouler, j’acceptais de partager avec lui, le même lit ! Cette nuit là, presque en public (et  les « filles abusées » disent toutes la même chose…) son ascendance et son pouvoir, m’ont fait basculer, et accepter sans protestations ni plaintes, ses désirs pervers…

J’ai répondu docilement à ses premières attentes et à ses caresses.

J’ai enfilé la minuscule nuisette sexy et soyeuse qu’il avait apportée.

J’ai, sans broncher, reçu son sperme dans ma bouche.

Pour la première fois, j’étais prise ! ouverte à toutes les dépravations et les libertinages  qu’il allait me proposer…

J’ai vécu une nuit folle, car il a ouvert presque toutes les portes….

 

 Je venais de choisir mon camp, je suis devenue sa petite salope !

 

Après, c’était facile… J’étais  soumise et amoureuse et j’ai porté les  vêtements sexy qu’il empruntait à ses soeurs (mes cousines),  j’ai regardé et lu avec lui, des revues pornos affichant des « transsexuelles / Marilyn », j’ai obéi avec plaisir à toutes ses envies car il encourageait tous les libertinages.

 

Mon dressage a commencé… avec l’acquisition d’une garde robe complète :

-         il a fallu que j’apprenne à marcher en hauts talons et bouger mon petit cul comme une putain.

-         il a fallu que je porte une perruque et que j’apprenne le maquillage.

-         il a fallu surtout que j’accepte cette double identité : male en public et femelle en privé…

-         mais, SURTOUT,  il voulait pouvoir me pénétrer et jouir dans mes fesses.

un doigt, puis des objets, puis sa queue !

 

Un mardi soir d’été, en pleine nature, travestie en fille (perruque, maquillage, mini robe et hauts talons) je suis enfin devenue sa poupée ! Dans une grange abandonnée, après une promenade en amoureux, il m’a attachée (j’avais l’habitude…) et caressée. Puis, profitant de tout mon corps, il m’a abusée. Au début, j’ai eu un peu mal, puis peu à peu je me suis abandonnée pour profiter pleinement de cette nouvelle sensation et du plaisir qu’il prenait dans mon petit trou.

 

Je suis devenue sa putain. Je profitais de matinées, ou seule dans l’appartement,  je pouvais à loisir essayer et fantasmer sur cette sexualité nouvelle. Tandis que je visitais les placards de mes cousines pour ressentir cette impressionnante et irrésistible envie de vivre en fille, en pucelle à abuser ou en pétasse à dresser, mes fantasmes accompagnaient ces choix vestimentaires. L’adrénaline exacerbait chaque mouvement, chaque déplacement, chaque nouvelle fantaisie. La peur d’être découverte excitait avec délice la sensation d’une nouvelle vie !  J’avais 12 ans !

Rapidement, mes choix se portaient sur des vêtements sexy et fétichistes.

(minijupe, talons hauts, transparence et dentelles ou cuir…).

Alors, j’ai commencé à construire une garde robe, digne des princesses, par les folies et les sommes que j’y mettais, mais aussi digne des putains, par le contact excitant des matières et des parures. J’avais l’impression déjà d’appartenir avec une sensualité libertine et impudique, exprimée à la perfection, par le cuir, le vinyle, les bas, les talons aiguilles, au monde nocturne du sexe et à toutes ces exhibitions.

Je n’osais pas sortir de la chambre, je rêvais de viol organisé, je m’arrachais ma petite culotte et jetée sur le lit je subissais tous les outrages. C’était l’époque d’Angélique, (la salope qui se fait prendre sous les tropiques…) et aussi la série « les rois maudits » ou l’érotisme torride des catins qui entourent la cour, fait valser les rêves de notre enfance et allume au maximum nos pulsions perverses. Je me régalais dans les revues qu’il me prêtait, des photos et des histoires de proxénétisme, de soumission et d’esclavage sexuel qui entouraient avec vices, les premiers émois de ma sexualité.

 

Je m’arrangeais aussi pour traverser les quartiers chauds et j’arpentais les rues chargées de cette atmosphère si particulière, saturée d’électricité, lourde et immobile, car là, le temps s’arrête… Enivrée par leurs tenues courtes, sexy, provocantes à souhait, je regardais jalousement mais respectueusement, ces filles de joie, susceptibles d’allumer et de satisfaire, toutes les mâles envies. Je voulais être à leur place, exposée et soumise, « à vendre ! » !!!

 

Alors, c’est vrai, j’ai profité de ces moments, sans honte, ni vulgarité. Mes vêtements souvent moulants, la mode était aux minets/minettes à l’époque, me donnaient la sensation d’appartenir déjà à un autre royaume. J’étais accostée (en promenant  le chien familial…) questionnée sur mes copines, puis sur mes copains, puis sur mon appétit,  et parfois sur mon désir d’aller plus loin vers leur sexualité. Fragile, tendre et amoureuse (chaude plutôt !) j’étais à leur merci…

« Conne » aussi par mon inexpérience, j’aurais du leur proposer mes services, me jeter à leurs genoux et les régaler de ma bouche, mais, je ne cherchais qu’à fuir doucement, une tempête sous un crâne… !

J’ai subi quelques attouchements et quelques attentats à la pudeur, sans pour autant m’offusquer, pour qu’avec délice, je prolonge mais sans jubilation, le moment ou j’allais dire : « je ne suis pas celle que vous croyez… ».

 

La suite logique de sa domination, premières fessées, premières photos, a été une découverte et un plaisir. Mon goût pour toujours plus, s’amplifiait comme un caprice. Mais le destin nous a séparé et son départ vers l’étranger, a été très douloureux ; abandonnée, sans autres repères, j’ai du assumer, toute seule, mes choix pour continuer à vivre comme finalement, je l’envisageais.

 

Il a fallu du temps au temps pour faire cette première sortie, maquillée, parfumée et très légèrement habillée… Je veux dire, en acceptant parfaitement mon rôle et mon attirance pour le racolage. D’abord dans le jardin, puis dans les couloirs d’un hôtel, enfin en voiture, ou j’adore doubler lentement les camions, la jupette bien haute sur mes bas et mon sac à main de pouffiasse en évidence sur le siège passager.

Mais là, je vais trop vite…

Bien sur, avant, j’ai connu les « exhibitions naturistes » ou seule en pleine nature, et en plein jour, une inavouable obsession frôlant le délire rejoignait la folle excitation de me déshabiller complètement et de rester ainsi, le plus longtemps possible.

 

Donc, la première étape fût la plus vicieuse : sortir en fille ! j’étais terrorisée, j’avais choisi une petite route isolée, longeant la voie express ; il fallait quand même qu’il y ait une progression, un enjeu … bref, un endroit désert n’aurait finalement que très peu participé à mon désir d’allumeuse débauchée… Alors, tard le soir, un peu éméchée pour me donner le courage et l’inconscience nécessaire à cette « première », je suis sortie en fille avec, perversité oblige, la ferme intention :

1/ de plaire

2/ d’allumer

3/ de ramener un homme à la maison, en tout cas de proposer mes services !

Je suppose que dans cette quête, ce soir là, j’ai été plus discrète que l’homme invisible...Enfin, il fallait bien commencer et j’ai du fabriquer à moi toute seule, plus d’adrénaline qu’un lycée de jeunes filles avant un premier saut en parachute !.

Mais la tentation, le plaisir et le désir de recommencer « au plus vite » ont tout de suite gagné dans cette étrange pulsion et première exhibition publique; j’étais devenue accro, alors j’ai augmenté les doses : plus salope, plus téméraire, plus souvent…

 

J’ai découvert d’autres lieux et j’ai commencé à répondre aux petites annonces des revues de rencontres. Ma lettre type, qui me présentait alors, était bien sage et presque pudique ; mais l’essentiel prévalait, une autre forme d’apparition, affirmant en « rose » mes penchants pour l’exhibition, la soumission, l’éducation anglaise, etc…

 

Comme j’aime aujourd’hui, ce sentiment de liberté, de plénitude mais aussi d’anxiété, quand, vulnérable, offerte et docile, je déambule, minijupée ultra court et parfois sans culotte, perchée sur des talons de 12cm, pour m’exposer et me vendre aux hommes, avec dans la tête cet air connu : «c’est l’amour qui passe»…

 

En fait, les plus hasardeuses et corruptibles rencontres, n’osent jamais afficher leurs pulsions et lâches parmis les lâches, après m’avoir bien matée… ils fuient sans avantages mais aussi sans conquêtes, des envies qui plus tard vont les tenailler et faire naître ainsi des regrets éternels !

A ceux que les circonstances ont mis sur ma route et qui peut être me liront, j’éprouve pour vous une reconnaissance éternelle de m’avoir si bien mise en confiance, par votre regard et votre capacité à me parler de tout et de n’importe quoi… tout en m’observant, je veux dire contemplant, mais on va croire que je fais ma pimbêche…. ! 

Et s’ils avaient su l’envie, la perversité et le « coût » de cette putain, sans nul doute, «ces clients» auraient sacrifié un moment de pudeur contre un moment de bonheur. Mon plaisir est là, et encore à venir…

 

Bon, ça, c’était avant ;  je sortais seule, généralement je restais discrète et je fréquentais plutôt les endroits déserts ou mal éclairés ; il faut bien commencer !

Et puis j’ai rencontré mon premier Maître (Maître Louis) et là, tout a changé. Il m’a redonnée confiance, il m’embrassait comme un amoureux mais aussi me faisait subir sa main lourde pour de redoutables fessées. Nous avons inventé beaucoup de jeux, l’école…, les salons… et j’ai pu grâce à lui être sa vicieuse et perverse petite salope.

Il dormait chez moi et abusait des heures entières d’une petite pétasse heureuse. Pendant 2 ans… La maladie l’a emporté avec, mes premiers émois de vraie soumission.

 

J’ai rencontré alors, mon deuxième Maître, (Maître Lucien) et là, tout a encore changé…

Il me sortait de jour comme de nuit, me donnait des rendez vous incroyables et m’imposait des tenues en se moquant bien de ma pudeur…

Sa référence, c’était le bois de Boulogne !!!

Il me voulait tous les jours, de temps en temps « en pute » sinon « en super pute »… Imaginez le choix qu’il me restait alors que j’aime parfois, les vêtements plus « bonbon à croquer », genre rose évanescent…

Il tolérait mon uniforme de soubrette (bustier vinyle, mule à talons hauts et tablier blanc) Il acceptait aussi ma nuisette, sexy et transparente, avec un petit cœur pour cintrer ma poitrine !  mais me corrigeait à chaque écart. Et je n’ai eu d’autres solutions pour porter mes minijupes, ou mes toilettes plus colorées, que d’exploiter ses absences. Chut !

 

Alors quand je sortais à la nuit tombante, pour promener mon petit cul, fraîchement corrigé… ah oui, il me faut avouer cette précision :

 

Dans sa perversité, mon Maître a écrit un article du règlement, qui stipule dans l’alinéa  N° 2 des règles de prostitution * :

«  Chaque exhibition ou considérée comme telle sera précédée d’une fessée destinée à humilier la soumise, mais aussi à favoriser son excitation sexuelle ».

 

Ainsi, quand mon Maître m’annonce que nous allons sortir, il m’ordonne d’aller me préparer, puis m’inspecte en détail, arrache parfois mon string ou ma petite culotte et choisi la position et l’instrument pour que je subisse la punition réglementaire.

Je compte les coups à voix haute, ça fait aussi partie du règlement.

Lorsqu’il est satisfait du résultat (je veux dire de la couleur de mes fesses), alors, je suis prête à faire la putain…

Assez bizarrement je n’ai jamais froid, même en hiver; sans doute grâce à ses bons offices… mes petites tenues cachent à peine un peu de dignité ;  je peux m’exhiber et aborder avec quelques centimètres de tissus courts et transparents, (validés par mon Maître) tous les mâles que je rencontre. 

J’ai appris à marcher sur des kilomètres, chaussée sur des talons fétichistes et excitants, à les faire résonner, comme un appel de « femelle en chaleur » et à balancer mes fesses rougies par la correction, à droite, à gauche, à droite, à….

La plupart du temps, il vient avec moi et assiste à toutes les scènes. Oh, il n’a pas besoin de me forcer pour que je racole, je dirais même le contraire, c’est moi qui lui propose le plus souvent d’aller accoster ce promeneur ou de déambuler dans

les lieus qu’il a choisis. Je n’ai plus peur, même si je ne sais jamais ou il m’emmène. Parfois sur des parkings, ou en sex-shop, mais aussi en club ou directement chez ses amis, ça change tout le temps !

Avec lui, j’ai découvert tout l’attrait de ce monde, d’exhibitions et de voyeurismes, de débauches, de parfums et d’ambiances « sexe », et cette foule  inavouable peuplée de gens ordinaires, caressants, plus ou moins virils, vicieux, pervers parfois, mais finalement assez respectueux.

J’ai depuis ma première pipe, ce goût lancinant du sperme, qui persiste, me drogue, et m’attire. Et je passe de l’un à l’autre, au gré de ses envies pour qu’enfin son plaisir soit dans son regard, comme dans ma  soumission.

Certains soirs, je suis promenée en laisse et la tension qu’il impose à ce lien est pour moi une sécurité quand, dans ses yeux brillants fixés sur moi, je lis sa jouissance sans fin et mon humiliation.

Il m’offre souvent sans contrepartie, il a ce pouvoir sur moi, j’aime ces moments, pouvoir être un cadeau (emballage compris !).

 

 

Une soirée parmi tant d’autres…

(14 mars 2010)

J’ai pris l’habitude d’envoyer un petit sms à mon Maître pour lui annoncer que je suis prête à le recevoir, je dis que je suis à disposition, et j’attends ses ordres.

Mon Maître m’a donnée rendez-vous à 21h15 dans une zone commerciale avec le commandement d’être (je reprends ses mots) : « en super pute ».

 

Aire de repos de St G… :

Je me promène, sans culotte, minijupe ras les fesses et perchée sur des talons de fille publique, en pleine lumière, surveillée évidemment par mon Maître et sous les yeux des différents voyeurs présents (une dizaine de véhicule). Ca, j’adore…

De plus, dans ces circonstances, je rencontre souvent des hommes gentils, flatteurs, fétichistes et se régalant du plaisir de voir sans complexes.

Je suis obligée de les draguer, je leur propose de passer un moment ensemble et surtout je leur signale qu’en acceptant, ils m’éviteront une raclée certaine.

 

1er client à se décider, un camping cariste, qui me fait profiter de son intérieur surchauffé mais un peu bordélique !

Enfin heureusement qu’il ne m’a pas prise pour faire la soubrette…

Il me pelote, visite sous ma jupette, constate qu’il n’y a rien…

 

Ah, il faut que je vous explique : mon Maître exige que mon sexe de pétasse soit invisible, il parait que cela dérange et perturbe les hommes de rencontre !

Alors, le débat est ouvert, mais personnellement cela me plait pour 3 raisons :

-         je suis un peu plus féminine,

-         je peux sortir sans culotte comme une petite salope

-         et je n’ai pas le droit de jouir donc je suis toujours chaude….

Je reste à la disposition de toutes les copines qui veulent connaître la technique (très efficace) pour faire cela.

 

Il jouit dans ma bouche en 5 minutes, puis essaie de m’arracher un contact permanent, peine perdue, mon Maître veille au grain et confirme que je lui appartiens.

 

Je déambule et racole encore un peu, puis nous changeons de lieu.

 

Port de commerce à L…

Alors là, c’est le festival. C’est chaud malgré la température qui commence à baisser. Mon Maître vante mes qualités de suceuse et je suis offerte à un homme chauve qui m’emmène sur un parking discret.

-« à genoux salope » ; comme d’habitude, j’obéis, je déboutonne le pantalon de mon client et j’ouvre grand la bouche pour le recevoir ; ça va, il bande vite et accompagne mes envies en imposant un rythme assez rapide ; mon Maître est derrière moi et je reçois quelques bonnes claques sur les fesses pour m’encourager.

Il est endurant le salaud et s’enfonce loin dans ma gorge. Je le sens venir…

Il m’inonde la bouche de sa liqueur que j’avale comme une grande.

Et puis son pote arrive, me regarde ; c’est à ce moment là qu’ils ont tous les deux réalisés que j’étais une travestie…

Bonheur suprême, avec les compliments j’ai réussi à être une « super pute ».

 

La suite est évidente, mon Maître est excité, il me remet le collier, direction sa chambre des tortures (chez lui en pleine cité, bonjour l’exhibe…) pour une fessée à la cravache fine qui me zèbre les fesses. Impossible de bouger, je suis attachée en croix sur le lit et traitée de tous les noms d’oiselles possibles.

Lui aussi finalement me présente sa queue avec l’ordre de le pomper à fond.

Adieu la poésie, je le suce avec passion et j’alterne coup de langue, lèvres baladeuses et bouche de gloutonne, pendant qu’il me promet qu’à la belle saison, je serais attachée toute la nuit et fouettée aux orties devant ses copains ! Beau programme…

Il jouit bruyamment avec ses deux cravaches à la main qu’il assène consciencieusement sur mes fesses déjà meurtries.

 

Mon Maître vient de m’annoncer une bonne nouvelle : cet été nous irons ensemble fréquenter une plage naturiste et homosexuelle…

Ca existe cette plage? Comment je vais m’habiller ou me déshabiller ?

Quelles chaussures, quelle robe ? et des lunettes de soleil, un sac, …

Est-ce que je serais fouettée avant… ? comment une travestie peut-elle finir nue ?

Mes chéries et mes chéris, soutenez moi, aidez moi, j’aimerai tellement réussir…

J’ai déjà une petite idée du cinéma que je vais faire pour allumer les envies,

les regards et profiter ainsi de cette occasion pour être une salope publique !!!

Mais pour l’instant, Il a juste réussi à allumer une flamme qui me brûle et me consume, car maintenant, j’ai le désir « d’être la plus belle pour aller nager… »

Fin de cette aventure avec Maître Lucien.

 

 

Je vous raconte…

Car là, je vais être en relation avec un troisième Maître, (Maître Jean) Seigneur et Propriétaire. (excusez du peu, mais il est à ce jour, et à mes yeux, le meilleur…).

Je ne le connais pas encore et pour cause, je suis en train de m’inscrire sur un site de rencontre avec quelques photos suggestives ! et qui va devenir bientôt notre connexion/rencontre.

Mais lui est déjà sur la plage naturiste, et il va assister à mon exhibition. Il me regarde, pendant que je me laisse draguer par un touriste…..

 

 

Exhibition perverse

 

D’abord s’exhiber sur une plage naturiste, plutôt homo. Facile, bien qu’ils soient très voyeurs et ne s’en cachent pas, les coquins.

Enfin bref, pour une première, je ne fais pas la maligne, j’installe ma serviette et je m’étale. De temps en temps je vais prendre un bain, l’eau est un peu froide, mais j’y reste le temps de diminuer au maximum mon « clitoris de pétasse ».

Je savoure l’instant, quand je sors de l’eau, de tous ces regards sur moi et évidemment sur mon sexe, un peu rétréci…

Je suis à l’opposée de tous ces mâles et je suis fière d’avoir le plus petit de la plage ! Fin du premier épisode.

 

Le lendemain, je reviens toute épilée. Waouh ! quel flash… ; en plus je me promène devant tout ce beau monde en ramassant des coquillages, le long de la plage…

Du coup je rencontre J…, un picard en vacances très attiré par ma plastique. Quand il m’a vue arriver, il s’est levé, je me suis arrangée pour ralentir mon pas et lui laisser le temps de bien me mater ; conversation convenue mais tout de suite le coquin en profite pour me caresser le sexe. J’assume mes envies de petite chienne en chaleur et je me laisse faire. Il m’invite à ses cotés, on s’aligne sur nos serviettes respectives puis attouchements, petite pipe discrète, et échanges teintés de nos expériences et désirs. Fin du deuxième épisode.

 

Rendez-vous fixé le lendemain, même heure, même endroit, mais avec un peu d’argent !

 

Eh oui, ce qui souvent n’est qu’un prétexte pour éloigner les plus « lourds » (genre 100€ la pipe…) devient régulièrement un fantasme pour moi, comme pour mon Maître.

Alors, quand cela est possible et je te jure que j’ai plus de demandes que je n’honore pas, que de refus…, alors oui je suis une pute !

Mais pour KINOO, je reste une vraie blondasse, chaude du cul et gratuite, si l’on me plait…

 

Et là, je viens en fille, hauts talons, perruque, lunette de soleil « très star », tenue de plage rose et légère, petite culotte en dentelle rose.

Je repère mon touriste et je le rejoins. Mon futur Maître est sur place, et voit tous mes déhanchements ; c’est facile avec le sable de se laisser chavirer…

Hmmm ! j’attire comme un aimant tous les regards et les plus courageux viennent s’installer « à vue ». Je me déshabille lentement en gardant perruque, bijoux et lunettes de soleil.

JE SUIS UNE PETASSE !

Je m’installe au coté de mon client picard, en ayant bien soin de creuser le sable sous ma serviette pour être cambrée au maximum…

 

JE SUIS UNE SALOPE !

Et pour plus de perversité, la veille, je me suis marquée les fesses à la cravache et au paddle. On voit distinctement les traces un peu violettes de la correction et j’en suis très fière !

JE SUIS UNE PUTAIN !

Evidemment nous allons, main dans la main, prendre un bain, sous la vigilance jalouse de nos voisins. La température monte au propre comme au figuré et avant l’incendie, j’invite mon homme de Picardie à la maison pour être plus tranquilles.

Là, lui nu, moi toujours habillée sexy (mais sans culotte) nous régalons ensemble d’une douche, d’un dîner en amoureux, et de caresses multiples.

Il sait que je suis passive, que je ne jouirais pas pour être encore plus chaude le lendemain, et que ma bouche et mes fesses de putain soumise sont à sa disposition.

 

Merci mon Chéri.

 

Quand je me relis, j’ai du mal à imaginer que j’ai fait tout cela, sans peur, en assumant parfaitement toutes ces envies, et comble du vice avec la ferme intention de recommencer !

 

A cette étape, j’ai donc rencontré grâce à « K... » et dans des circonstances amusantes mon nouveau Maître et « Propriétaire ». Et j’ai su alors qu’il avait assisté (en voyeur) à toutes les scènes sur la plage. Je suis mise à nue et mes confessions illustrent mon appétit et ma volonté d’aller encore plus loin. Je lui explique l’école, mon désir d’être sa petite salope, de lui obéir en tout et de satisfaire ses péchés mignons.

Au fur et à mesure des rencontres, il distille la soumission par quelques touches, et abuse de tous ces pouvoirs pour satisfaire le vice, la perversité, et le plaisir. Il m’offre et m’échange et parle de moi comme étant sa catin vicieuse à dresser, en public si possible… Il aime bien aussi me voir en soubrette pour le servir, ainsi que nos hôtes. De mon coté, je provoque et je joue l’allumeuse, je fais preuve d’imagination pour le séduire et exciter sa perversité… 

 

La suite, vous la connaissez, il m’a vendue, offerte, à tous ses amis ; il a aussi  établi un profil en couple avec moi, et je sers d’appât à ses conquêtes.

Ces différentes rencontres ont fait de moi cette putain soumise, obéissante, chaude et douce et éduquée pour satisfaire toutes les fantaisies…  

 

  merci Maître.

 

Oh, bien sur, je n’ai ni de « vraie » fourrure, ni « d’authentiques » bijoux, ni une mini décapotable digne des pouffiasses et je ne suis pas la call girl d’un footballeur…

mais j’ai la chance, de pouvoir faire « un peu la pute », d’avoir toujours envie de plus, et de découvrir à chaque rencontre que mon bonheur est simple, partagé et très jouissif !

 

 

Et puis, il m’a vendue, parce que je préférais ne rencontrer que des hommes….

Exposée comme une esclave ou un objet, confirmant ainsi sa volonté de m’humilier, mais aussi de satisfaire mes envies, je suis devenue, la pétasse de Maître TED…

 

C’est un « ami «  de mon précédent Maître, il est disponible et très joueur ! Il adore m’exhiber et m’offrir, mais surtout me fouetter souvent et très fort…Il me marque avec un feutre sur les  fesses de mots crus et m’administre aussi des fessées aux orties, à la canne de bambou… il adore quand je me promène devant lui, sans culotte.

Ca promet !!!

 

Corinne

     (pute et soumise)

PrOpriété de Maître TED

 

Objet sexuel

A fouetter, à dresser et à abuser

     …………………………

 

Par corinne29
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 8 août 3 08 /08 /Août 17:02

Ceci est le premier article de votre blog. Il a été créé automatiquement pour vous aider à démarrer sur Erog. Vous pouvez le modifier ou l'effacer via la section "publier" de l'administration de votre blog.

Bon blogging

L'équipe d'Erog

PS pour vous connecter à votre administration rendez-vous sur le portail des blogs Erog

Par Erog
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus